Un thérapeute est avant tout un être humain. Il à des défauts et des qualités et il est fondamental de ne jamais l’oublier.
Il faut se souvenir que nous avons nos limites et de prendre conscience lorsqu’elles sont atteintes.
Un bon thérapeute se remet toujours en cause et même s’il est satisfait d’un travail qu’il fait, il se remettra toujours en cause pour chercher à s’améliorer.
On n’arrête j’amais d’apprendre et de se perfectionner.
Mettre son Ego de coté est une base structurante du métier. Il ne faut jamais oublier que dans le domaine des thérapies brêves, c’est la personne, que l’on guide au travers d’un processus, qui fait le travail. Jamais vous.
Le résultat vient de son action. Le thérapeute n’est qu’un catalyseur.
Le thérapeute, (le guidant), n’a aucun pouvoir, aucun ascendant sur la personne accompagnée. Il est juste la pour créer les conditions nécessaires du changements.
Si un travail n’abouti pas, c’est soit que la méthode ne correspond pas à la personne, soit que des erreurs techniques ont été commises. En aucun cas on ne doit persevérer dans une méthode qui n’a pas abouti. Soit on change de méthode, soit on réoriente la personne vers un autre thérapeute.
Si la thérapie est menée correctement, en une séance, on doit avoir des résultats significatifs. Si vous n’avez aucun résultats, changez de méthode ou reorientez la personne.
S’obstiner est un signe d’Ego non satisfait et amènera une perte de confiance de la personne aidée, ainsi qu’une perte de confiance en vous même.
Un thérapeute doit être patient, à l’écoute de l’autre, capable de se taire, ne jamais interpréter ce qu’il entends, juste analyser les structures. Après chaque séance, il se pose la question de ce qu’il pourrait améliorer.
Nombre de thérapeutes mal formés coupent la parole, ne laissent pas la personne s’exprimer, interprètent , pensent savoir ce que les personnes vivent et donnent une signification aux propos de la personne…
Il est impossible de savoir ce qu’une personne vit ou a vécu…on peut en avoir une vague idée, mais on ne saura jamais la réalité émotionnelle que la personne en fasse de nous vit.
L’être humain est unique et son chemin de vie est unique !